||Quentin|| Soleil ,Passion && Plage

Lendemain de fête. En général les personnes sont plutôt de mauvaises humeur,prit par une migraine terribles tellement ils ont bu ou simplement avec un grand sourire repensant à leur soirée merveilleuse. Hier, c'était déroulé le Bal de Lohéac. Merveilleux bal,belle soirée quelque peut bouleversante. Blanche repensait au bal avec une forte migraine. De mauvaise humeur dès son réveil...elle était prise par un sentiment de vide. Quelque chose ne tourné pas rond. Plus les heures passait,plus son état était en baisse. Son père s'inquiétait. Elle avait presque pas mangé,elle ne répondait qu'en monosyllabes et n'écoutait qu'à moitié. Blanche avait fermé boutique très tôt.

"On se reverra....je te le promet." Elle devait aller le voir. Mais...où habitait-il? La Push...oui c'était ça. Or, ni son père et encore moins elle savait où se trouver la réserve Quileute. Hier soir, elle était partit si vite. Et puis cette histoire d'imprégnation,cette déclaration si romantique et si brulante. La fièvre,le désir,l'amour...c'était merveilleux. Blanche y avait gouter pour la première fois et en pouvait plus sans passé. Ce vide...c'était Quentin qui lui manqué. Était-ce cela l'Amour??
Comment pouvait-elle le savoir ? Elle n'avait jamais connu l'Amour. Qu'il soit maternel ou paternel. Les parents de la jeune fille était toujours trop occupée pour lui montré ce qu'était l'Amour. Certes...au lycée elle avait eut des petits-amis. mais...c'était pas pareille. C'était pour l'Argent ou la popularité.

Si l'Amour c'était cela...Blanche ne voulait plus sans passé. C'était à la fois une grande souffrance et une joie immense.
Le viel homme toqua à la chambre de Blanche celle-ci sursauta et lui annonça qu'il pouvait rentré. Il prit la jeune femme dans ses bras une fois encore. Depuis hier soir, Blanche avait retrouvé son enfance volé. Elle acceptait toutes signes d'affections venant de son père. Elle débordait d'Amour. C'était horriblement inquiétant pour la petite Queen au fond d'elle qui hurlait de rage. Comment était-ce possible ?? De tombé amoureux d'un lycanthrope,même pas originaire de New-York,qui ne connaissait même pas l'étiquette. Blanche se rendait bien compte de tout cela mais, s'en fiché.

Elle avait peur. C'était encore un terrain inconnue pour elle et puis B avait tellement de défauts. Supporterait-il la petite fille de haute société ? Les caprices,l'étiquette...bref les inconvénients d'avoir une petite-amie de l'Upper East Side. Le viel homme lâcha la jeune femme est lui glissa à l'oreille un "va le voir...suit ton cœur".
Cette histoire était vraiment un conte de fée. Une histoire digne de Disney. Blanche s'habilla. très simplement. Une robe longue verte,une cape noire tout aussi longue est des petites chaussures. Histoire de passé inaperçue dans le décor Narnien. Suivre son cœur. Blanche ne comprenait pas....la première chose qu'elle fit: Demander son chemin. Et selon la personne qu'elle venait d'interroger le meilleurs moyen de se rendre à la Push était de passé par la forêt. Blanche regarda la forêt en face d'elle....très rassurant. Enfin...elle était déterminer. La jeune femme s'enfonça sans se préoccuper de l'homme qu'elle venait d'interroger qui lui disait qu'elle était complètement folle. Certes...les forêts n'était pas des endroits très rassurant. Elle se griffa plusieurs fois les chevilles avec les ronces et faillit mourir de peur plus d'un million de fois. Enfin, Blanche arriva au bout de cette fichue forêt....La réserve. B voulut s'avançait et s'écroulait par terre en se prenant le pied dans une racine. On l'aida à se relever.

-La plupart des gens qui ose traversé cette forêt sont fous ou amoureux.
-Pour moi c'est un mélange des deux...Merci.
-De rien..

Un lycanthrope,qui dépassait Blanche d'au moins deux tête. Plus musclés et plus inquiétant que Quentin. Il semblait plus vieux aussi vers la trentaine ou la vingtaine...qu'importe à vrai dire. Blanche enleva la poussière et l'herbe sur elle avant de s'adresser au lycanthrope.

-Je cherche quelqu'un.
-Je n'en doute pas...

Mouhahaha quel sens de l'humour. La jeune femme fit un pas en avant fessant bien attention de ne pas tombé une seconde fois. Ce serait gênant.

-Il s'appelle Quentin Black..vous le connaissez ?
-Qui ne le connait pas. Bon sang...comment il fait pour toujours avoir les plus belles.
-Vous disiez?
-Non...Rien
-Très bien..pourrait-je avoir une réponse à ma question?
-Il est vers la plage. Je vous y emmène si vous voulez.

La jeune femme accepta et suivit le lycanthrope. Ils marchaient côte à côte et Blanche pouvais sentir nettement le regard du lycanthrope sur elle. Ils traversèrent la réserve. B fut impressionné par les regard hostile des personnes présente. Elle resta tout de même de marbre pour caché sa peur. En même temps c'était inutile,ils étaient des loups et pouvait nettement sentir la peur de la jeune femme. Elle remarqua que la plupart des hommes était en short et torse nu ou en tee-shirt. La nouvelle mode sans doute se dit-elle avec un sourire malicieux. Évidemment...Blanche savait que c'était dut à la chaleur corporels des loups. Le lycanthrope s'arrêta et désigna quelques brèves indications. Il ne souhaitait pas allez plus loin. Très bien elle se débrouillerait seule. B remercia poliment le lycanthrope qui hocha la tête et repartit les mains dans les poches. En arrivant vers la plage elle trouva une silhouette assise face au soleil. Une silhouette très familière. Son cœur ne fit qu'un bond dans la poitrine de Blanche. Allons bon..qu'elle se calme. B s'approcha avec sa discrétion naturelle et prit la parole:

-Je vous dérange Monsieur Black ?

Bras croisé et avec un grand sourire elle fit face à Quentin.

Pour la première fois de sa vie, Quentin avait peur. Non la deuxième d'ailleurs, mais ça n'avait pas d'importance. Il ressentait la vraie peur, celle qui vous tétanise, paralyse, vous empêche de penser à autre chose. Et c'était très déstabilisent pour lui. Il avait toujours eu l'habitude de savoir régler ses problèmes tout seul, sans difficulté. Mais là... Rien n'était parvenu à lui faire oublier elle. D'y repenser plus intensément le sortit un instant de sa stupeur. Mais à peine une demi seconde plus tard, il revint aux mêmes émotions. Il avait peur qu'elle ne revienne jamais. Qu'elle ne veuille pas de lui. Et elle, c'était Blanche Maden. Quentin ferma ses yeux. Des souvenirs revinrent en lui, ne durant qu'un petit moment dans son esprit. Ses cheveux, ses yeux, son odeur, sa voix, ses mains si petites et si douces comparées à celle du jeune homme...

La veille, Quentin était allé au bal organisé au château de Lohéac avec Blanche. Il l'avait certes à peine rencontré, mais il l'avait invité directement. Et pendant ce bal, il s'était rendu compte qu'il y avait eu imprégnation avec elle. En réalité, le phénomène s'était déclenché dès l'instant où il avait regardé Blanche, lors du jour où ils s'étaient rencontrés. Mais ce n'était que plus tard qu'il avait compris cela. Voila pourquoi il n'avait pu penser à autre chose qu'au bal et à sa cavalière, pendant le peu de temps séparant cette rencontre et l'événement à Lohéac. Il y a tant de choses que Quentin comprenait à présent...Voila pourquoi il avait peur aussi. Il ne connaissait pas tout cela, c'était comme une fourmi perdue dans un monde vide. Mais plus loin, il y avait une lumière auquel la fourmi était inexorablement attirée. Lui était la fourmi, et la lumière...Blanche.

Que se passerait-il si un jour, lui et Blanche regagnaient leur monde, tout comme d'autres personnes, tous les Quilleutes compris ? Elle lui avait dit qu'elle vivait à New York, qu'elle était riche...Tandis que lui vivait à l'autre bout de l'Amérique, dans un coin froid et pluvieux, où la forêt était abondante, comme ici. Jamais il ne pourrait être dans l'univers de Blanche. Et elle non plus... Mais après tout, il y avait une solution à tout, il ne fallait pas désespérer. Quentin était dans cet état de peur, avec l'esprit rempli de questions, depuis environ entre trois et cinq heures du matin. Depuis qu'il était rentré du bal, il s'était changé, reprenant son short et un t-shirt, puis s'était enfoncé dans les bois en se transformant. Aucun loup de la meute n'était là, tous dormaient sûrement. Il se sentait mieux en lycan plutôt qu'en humain, surtout pour ses émotions. Puis il s'était retransformé en humain et était resté sur la plage. Plusieurs personnes l'avaient déjà vu de loin, mais savaient très bien qu'il valait mieux ne pas le déranger, il était souvent sujet à la colère, un peu comme Paul.

D'ailleurs, Quentin sentit brusquement l'odeur de celui-ci. Il était tellement habitué à lui qu'il pouvait le reconnaître. Les Quilleutes loups avaient leurs sens développés, mais pas comme les vampires...du moins, tant qu'ils étaient humains. Il entendit deux voix, dont une qu'il connaissait déjà. Toutefois, il n'arrivait pas à distinguer l'autre. Il n'avait pas envie de se tourner pour le savoir. Il espérait juste que Paul le laisserait tranquille et ne se ramènerait pas. Quentin n'avait pas envie que la meute sache qu'il s'était imprégné. Même son père, qui était réveillé quand il était revenu de Lohéac, l'avait questionné, mais le jeune homme n'avait rien dit. Il était dans son mutisme, incapable de dire quelque chose à cause de cette peur de perdre ce qui était le plus important à présent pour lui. Toutefois, quelqu'un s'avança, et il ne put même pas savoir qui c'était. Il aurait pu, si il avait bien senti l'odeur qui venait vers lui, mais il n'en eut pas le temps. Une voix s'éleva, brisant tout dans son esprit.

-Je vous dérange Monsieur Black ?

Cette voix...il aurait pu la reconnaître partout, à tout moment. Un élan de bonheur traversa tout son corps, lui faisant tout oublier. Ce fut alors qu'il vit une jeune femme qui s'avança, se mettant devant lui. Le soleil faisait de magnifiques reflets sur ses cheveux bruns, ses yeux semblaient aussi joyeux que son expression. Un grand sourire illuminait son visage, sourire contagieux d'ailleurs, puisque Quentin ne put se retenir d'en faire un à son tour. Il se releva et contempla Blanche. Elle était tellement plus belle que ce que l'image qu'il avait eu d'elle pendant la nuit... Avant de faire quoi que ce soit d'autres, il s'approcha et la prit dans ses bras.

- Jamais vous ne me dérangerez mademoiselle, murmura-t-il à l'oreille de Blanche.

Au bout d'un quizaine de secondes, il la relâcha, toujours en la contemplant. Il observa alors les vêtements qu'elle portait : une simple robe, et une cape par dessus. Simples, mais qui la mettait tellement bien en valeur...Tout était bien pour elle de toute façon.

- Tu as eu le temps de...réfléchir ?

Quentin espérait qu'elle avait refléchi, qu'elle lui dirait sa réponse, à savoir si elle l'aimait vraiment ou pas. Si elle était prête à être son sujet d'adoration, à être celle dont il ne pourrait jamais se passer, à être celle dont il prendrait toujours soin, et inversement.

Le soleil,la plage...la passion. Deux jeunes amoureux. C'était romantique. Leurs histoire pourrait faire pleuré même les cœur de pierre. Enfin pas tous...certaines personnes ne pouvait comprendre c'est choses-là. Blanche pensant directement à ses amies,sa familles...ce qui l'en reste du moins. Quentin lui rendit son sourire. B était maintenant prise par cette passion dévorante. Les mêmes sensations,les mêmes émotions qu'hier était présente. Le jeune lycan la prit dans ses bras. La jeune femme s'y fondit avec plaisir. On pouvait entendre les deux cœurs battre aussi fort que leurs amour.

"Jamais vous ne me dérangerez mademoiselle"

Son souffle,qu'un murmure..Blanche resta dans les bras de Quentin. Elle ne voulait plus le quitter. Ses bras si fort et musclés la rassuré,elle en oubliait toutes ses craintes,ses peurs,ses angoisse. Le lycanthrope lâcha de quelques secondes la jeune femme.

"Tu as eu le temps de...réfléchir ?"

Blanche lâcha un soupir. Si elle accepté cette impregnation ?? Évidemment qu'elle acceptait. Mais...il avait tellement de questions sans réponses. Des craintes que les deux jeunes gens ne pouvait ignorer...ou si. Blanche hésitait. Une attente si longue. Elle voyait bien que Quentin angoissé. Elle aussi l'était..

- Tu me connait a peine...tu t'imagine même pas tout les défauts que j'ai. Et l'étiquette..elle m'interdis certaines choses. Je...suis pas digne...

C'était mélangé. Mais au moins c'était sortit. Elle lui avait dit...elle n'était pas à la hauteur de ses espérance. Pas digne de son amour,de sa passion. Mais...oui,oui elle le voulait. Blanche se fondit une fois encore dans les bras de Quentin et sentit une larme glissait sur sa joue. Oh non...pas maintenant ! Le côté ancienne Queen de Blanche était désespérée. Comment ça elle n'était pas digne ?? Pourquoi elle pleure ??! B se rendait bien compte de la catastrophe. Elle faiblissait..l'Amour de Quentin lui fessait perdre tout ses moyens et capacités. Elle se desserra de son étreinte . Son angoisse se lisait sur son visage tout comme sa tristesse profonde. Blanche baissa la tête,signe de soumission. Dès le premier regard,dès sa rencontre avec Quentin. Elle savait qu'il pouvait l'avoir. La tentation...il avait réussit. Que dirait ses amies à cette instant ??...."Blanche tu est folle ??? Tu as perdue la tête ??" " Comment a-tu pu céder aussi facilement ?" "Tu connaissait les dangers,pourquoi tu t'es jeter dans la gueule du loup ?" Tant de questions..elle ne comprendrait pas. Elle ne savait pas que souffrir autant était si délicieux pour Blanche. L'amour est comme la rougeole, plus on l'attrape tard, plus le mal est sérieux. Oui...le mal était vraiment sérieux cette fois-ci. Il fallut 18 ans pour que Blanche découvre l'Amour et qu'elle puisse plus s'en passé.

Quentin sentit Blanche se resserrer contre lui. Il préféra la lâcher pour lui parler. Mais apparemment, ce fut le moment où elle bloqua. Elle soupira et sembla hésiter. Les résolutions de Quentin vacillèrent à ce moment-là. Il commença en angoisser, et à trembler, mais pas de fureur. Sa peur revient en lui. Non, il ne pouvait pas se passer d'elle. Ce n'était pas envisageable...

- Tu me connait a peine...tu t'imagine même pas tout les défauts que j'ai. Et l'étiquette..elle m'interdis certaines choses. Je...suis pas digne...

Blanche revient dans ses bras, mais cette fois, quelque chose indiqua à Quentin qu'elle pleurait. Il la serra un peu plus fort, ne sachant pas quoi faire. Lui était de plus en plus angoissé, il ne tremblait plus car la présence de Blanche contre lui le réconfortait un peu, mais la voir dans cet état lui faisait poser beaucoup plus de questions. Tout repartait comme la veille. Il était perdu dans un monde, il était encore une fois la fourmi... Une fourmi facile à éliminer.

- Ne dis pas ça...Tu ne sais pas non plus comment je suis. Mais on apprendra à se connaître. Je t'assure qu'en une nuit, tu m'as totalement changé. Je ne suis plus le même. Mais par contre, je veux la vraie Blanche, celle que j'ai toujours vu. Je ne veux qu'elle, pas une autre.

Quentin était prêt à tout dire pour persuader Blanche. Elle l'avait relâché mais ne le regardait plus. Il posa une main sur son épaule, et la descendit jusqu'à prendre la main de la jeune femme. Autrement...il pouvait être le meilleur ami qu'elle n'aurait jamais, celui qui la comprendrait toujours, comme un grand frère. Mais il ressentait beaucoup plus envers elle. Tous les deux allaient entrer dans le monde des adultes, ils n'étaient plus des enfants ou des adolescents. Non, il l'aimait, c'était une passion sauvage mais tellement douce.

- Tu sais, hier, quand je t'ai demandé si tu pouvais m'offrir ce que je voulais, tu n'as pas...eu le temps de me répondre. Moi, tout ce dont j'ai envie, c'est une seule chose, qui se résume en un seul mot : toi. Je sais, je me répète beaucoup, mais je...dois tout faire pour te convaincre. J'en ai besoin...

Sa voix s'était brisé à la fin, il détourna son regard. Non, il n'allait pas pleurer, mais une infime angoisse était toujours sur son visage. Que pourrait-il faire loin de Blanche... En y réfléchissant, sa vie, avant, ne s'était pas résumée à grand chose. Maintenant, il lui suffisait de continuer de vieillir, même si il n'aimait pas ce mot, toujours avec Blanche. Si certains, plus tard, allaient leur demander " Alors, à quand les enfants ? " Quentin ne saurait quoi répondre...Il se compliquait comme un idiot là ! Ne pensons pas encore aux enfants... Caressant le dos de la main de la jeune femme avec son doigt, il retourna son regard vers elle. Il murmura alors trois mots...septs lettres.

- Je t'aime.

Bientôt l'hiver. Or, il fessait chaud pour un Automne. Sauf le cœur de Blanche. Il était froid...froid comme sa tristesse. Elle sentit une légère pression,Quentin la serrer un peut plus fort. L'odeur de Quentin envelopper la jeune femme. Elle voulait pour toujours,resté dans ses bras.

"Ne dis pas ça...Tu ne sais pas non plus comment je suis. Mais on apprendra à se connaître. Je t'assure qu'en une nuit, tu m'as totalement changé. Je ne suis plus le même. Mais par contre, je veux la vraie Blanche, celle que j'ai toujours vu. Je ne veux qu'elle, pas une autre. "

Elle aussi avait changer. En une nuit. Les caresses,les soupirs,les baisers de Quentin l'avait métamorphoser. Blanche le lâcha et baissa la tête sagement. Il posa une mains sur son épaule et la descendit pour prendre la mains de Blanche. La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre.....B le savait bien. Si elle voulait être heureuse, elle devait donner sa réponse à Quentin. Lui dire c'est deux mots,8 lettres si importante.

"Tu sais, hier, quand je t'ai demandé si tu pouvais m'offrir ce que je voulais, tu n'as pas...eu le temps de me répondre. Moi, tout ce dont j'ai envie, c'est une seule chose, qui se résume en un seul mot : toi. Je sais, je me répète beaucoup, mais je...dois tout faire pour te convaincre. J'en ai besoin..."

Il y était presque. Blanche releva la tête. Le lycanthrope détourna le regard,sa voix c'était brisé. La jeune femme pâlit. Il caressait le dos de la main de Blanche et reposa son regard sur elle pour lui dire:

"Je t'aime. "

Blanche ferma les yeux prise soudainement par des vertiges. Sans doute dut au fait qu'elle n'avait pratiquement pas manger de toute la journée et puis surtout aussi par cette révélation. Blanche savait maintenant. Il l'avait...pour toujours. Elle enleva doucement sa main pour caressait le visage de Quentin doucement. Avec un grand sourire elle lui donna sa réponse:

-Je t'aime...

Maintenant plus rien ne compter. A part eux...elle & lui. Blanche savait qu'elle s'engager pour l'éternité sans doute. Cette imprégnation..c'était un peux comme si Quentin lui demandait sa main. C'était sérieux,très sérieux. Sans doute ça qui attiré et fessait aussi peur à Blanche. Mais bon...elle n'était plus une enfant,elle devait arrêter de rêvé. Blanche avait 18 ans...elle allait rentré dans la prestigieuse université de Yale. Épousé l'homme qu'aurait choisit son père pour elle et puis elle serait riche,belle et gouverneur. Maintenant... elle devait trouvé d'autres repères,d'autres projets et tout ça avec Quentin. C'était tout de même rassurant le fait de savoir qu'elle ne serait pas seule. Qu'elle ne serait plus jamais seule à partir de maintenant.

Lui qui avait cru qu'il n'arriverait jamais à prononcer ces trois mots, il s'en était plutôt bien sorti. De toute façon, le sentiment de ne dépendre que de Blanche était suffisant pour que Quentin dise tout. L'inspiration pour ce genre de choses lui venait très facilement à présent. Blanche ne bougeait pas, jusqu'au moment où elle lâcha doucement la main qu'il lui tenait pour la mettre sur son visage. Puis les paroles qu'il attentait tellement franchirent les lèvres de la jeune femme avec une douceur incomparable. Il ne sut que fermer les yeux, se sentant soulagé. Puis quelques secondes plus tard, il attira à nouveau Blanche à lui. Il la prit dans ses bras plus doucement qu'avant, plus tendrement, comme un adulte avec un enfant. Jamais il n'avait été du genre à être attentionné, mais il avait l'impression de savoir quoi faire. Soudain, des bruits le retirèrent de ses pensées, et il leva la tête en ouvrant les yeux pour voir...Paul et Jared. Le premier était sans doute allé chercher l'autre quand il avait conduit Blanche jusqu'à la plage. Les deux applaudissaient en se marrant bien.

- Fichez le camp tout de suite ou vous vous prenez une raclée plus tard !

Bon, il dut reconnaitre qu'il était amusé aussi, et ne put se retenir de rire à son tour. Tout le monde allait être donc rapidemment au courant de son impregnation, avec une jeune inconnue - du moins, pour les Quilleutes. Quentin la regarda puis desserra son étreinte. Pendant un moment, il n'y eut aucun bruit, à l'éxception de Paul et Jared qui repartaient vers la réserve en riant toujours. Le jeune Black se souvint alors que Jared aussi était impregné d'une fille, Kim. A l'époque, il avait trouvé dégouttant de voir les souvenirs du loup avec sa petite amie. Maintenant il comprenait. Les autres loups de la meute allaient sans doute lui dire d'arreter de penser à Blanche tout le temps quand ils seraient tous transformés.

- Au fait...

Quentin mit une main dans la poche droite de son short afin d'en sortir un collier. Mais pas n'importe lequel. C'était celui que Blanche lui avait donné la veille. Pendant toute la nuit, il l'avait regardé, sans parvenir à dormir. Il s'était remémoré les quelques moments où il avait été elle, puis leurs baisers échangés... Il la regarda dans les yeux puis lui prit la main et lui rendit en même temps le pendentif. Il sentait que Blanche avait son coeur qui battait plus vite que la normale, et cela fit rire Quentin pendant quelques secondes.

- Je suppose que je n'en aurais pas besoin à présent.

Il sourit à la jeune femme sans lâcher sa main, tandis qu'elle faisait de même. Un sourire si beau, si sincère... Il baissa un instant les yeux et fut une nouvelle fois surpris de voir combien la main de Blanche semblait si petite comparée à la sienne. En généralité, elle paraissait aussi fragile physiquement... Mais cela, il pourrait y faire quelque chose.

- Si ça peut te rassurer...je serais toujours là pour te protéger, toujours. Je dispose de certains atouts pour permettre une grande protection en plus...

C'était fait et c'était pas aussi horrible qu'elle s'imaginait. Certes... elle avait toujours dit que dire "Je t'aime" c'était pas aussi simple. Il fallait d'abords plusieurs phénomènes ou facteurs pour qu'elle le dise tel que la passion ensuite la confiance. En si peu de temps... elle avait eut les deux. C'était presque...magique ?
Quentin la reprit alors dans ses bras. Avec une tel douceur et fermeté. Blanche avait trouvé chez le lycanthrope l'Amour,la passion,galanterie et la galanterie. Il l'envouté et l'intrigué. Pour son côté loup mais aussi pour sa partie humaine disons. Des pas se fit entendre dans le sable qui crisait à chaque pas. Blanche se retourna et découvrit deux lycanthropes. Parmi eux se trouvait le jeune homme qui avait accompagnée Blanche jusqu'à Quentin. Les deux amis applaudissant en se marrant,Blanche restait silencieuse et souriante. Elle espérait tout de même qu'il n'est pas des ennuies ou autres avec les siens.

"Fichez le camp tout de suite ou vous vous prenez une raclée plus tard !"

Le lycan desserra son étreinte. Un silence se fit entendre,brisé par les rires des deux lycanthropes qui repartaient.

"Au fait..."

l'interpella Quentin. Blanche se tourna vers lui et le vit mettre une main dans la poche droite de son short afin d'en sortir un collier. B reconnue son pendentif elle l'avait donné la veille à Quentin. Une façons de le remercié et surtout pour pas qu'il l'oublie. Il la regarda dans les yeux puis lui prit la main et lui rendit en même temps le pendentif. Blanche avait comme l'impression que son cœur allait lâcher tellement il battait bien au-dessus de la normal.

"Je suppose que je n'en aurais pas besoin à présent. "

Il lui sourit sans pour autant lâcher sa main. La jeune femme rangea le médaillon dans une petite bourse et reposa son regard noisette sur ceux de Quentin.

"Si ça peut te rassurer...je serais toujours là pour te protéger, toujours. Je dispose de certains atouts pour permettre une grande protection en plus..."

Justement...elle était vivement intéressé par les lycanthrope et souhaité en savoir le plus possible. Elle était curieuse de savoir les traditions,les cultures ou autres choses des Quileutes.

- Être lycanthrope doit avoir plusieurs avantages... j'aimerais,si ça te dérange pas . Que tu m'en parle.

Blanche enleva sa cape afin de s'allonger dessus sans avoir de grains de sables dans les cheveux. Serait embêtant. Elle offrit son plus beaux sourire à Quentin et attendit qu'il la rejoigne.

Blanche ne sembla pas réagir aux dernières paroles de Quentin. Toutefois, elle dit après qu'elle aimerait qu'il lui parle des lycans, des Quilleutes..de tout ce qu'il connaissait en gros. Elle s'installa en plus sur la plage, en s'allongeant sur sa cape, prête à écouter ce qu'il pourrait dire. Rahh lala..Il ne pouvait pas refuser. Il s'assit à son tour par terre, fixant toujours Blanche. Il se demanda par quoi commençait...il y aavit tant de choses. Et il n'en savait probablement que la moitié. Elle avait l'air de surtout vouloir savoir ce qu'il vivait en tant que loup. Difficile à exprimer, mais il y arriverait.

- Tu as raison, il y a beaucoup d'avantages, mais il y a encore plus d'inconvénients, je t'assure. Mais c'est sûr, certains choses sont vraiment bien. En humain, j'ai déjà ma température élevée à plus de quarente deux degrès, et, encore plus étonnant, je guerris en deux minutes. Même les os cassés. J'aurais bien aimé te montrer, mais je doute que tu apprécies que je m'entaille la main devant toi, même si il y a une guerison rapide.

Il rit doucement. Il s'amusait souvent avant à se couper, car il adorait voir ses coupures devenir des cicatrices en cinq minutes. Mais il avait évité de le faire devant tout le monde, puisque dans son monde natal, il lui était défendu de révéler son secret aux autres Quilleutes.

- Il y a aussi le fait que j'ai beaucoup plus de force que d'autres de mon âge, même si...ça ne se voit pas vraiment u_u. Surtout par rapport à Paul et Jared, ceux qui sont venus tout à l'heure. Mon cousin est encore plus grand que moi, ça m'énerve beaucoup d'ailleurs...

Sauf que Jacob n'était pas aussi populaire que lui. En tout cas, ils n'avaient pas la même réputation dans la réserve. Son cousin était certes plus fort et plus grand que lui, mais sa meilleure amie était une fille amoureuse d'un vampire. Impardonnable ! Puis Quentin préférait ne pas ressembler aux gars de la meute, il était unique au moins. En loup, de toute façon, il ressemblait autant aux autres.

- Après rien ne change beaucoup. Mais si je me mets en colère, il peut arriver que je me transforme sans pouvoir me contrôler, comme tout loup. Mais c'est rare quand même, je me retiens maintenant. J'aimerais bien que tu me vois sous cette forme, pour te montrer que je n'ai absoluement rien à voir avec les loups garoux des films!

Quentin venait sérieusement d'y songer, mais il faudrait qu'il enleve son short dans la foret, plus loin en tou cas, avant de se transformer, puis revenir à la plage vers Blanche. Il avait aussi peur de la réaction de celle-ci. Après tout, il était bien plus grand qu'elle en humain déjà, en loup, sa taille était doublée, même à quatre pattes. Mais il avait un air doux, comme un gentil chien.

- Il y a trois ans, je ne croyais pas aux légendes Quilleutes qui parlaient des loups et des vampires...j'ai du me forcer à y croire.

En effet, il les avait entendu quand il avait quatorze ans, et avait trouvé cela complétement dingues. D'abbord des hommes qui ont des esprits qui " volent ", puis un chef dont l'esprit integre le corps d'un loup pour former un loup garou... Et après, la découverte des vampires, et enfin, la trève avec les Cullen.D'abbord, Quentin n'habitait pas dans la Push avant, mais dans une autre réserve Quilleute. Il n'avait pas vraiment fait parti de la meute de Sam, Jacob et les autres. Ce n'était que quand il avait déménagé dans cette réserve là qu'il était entrée dans cette autre meute. Etrange, mais de toute façon, ils n'était que très peu dans sa réserve...Lui et trois de ses amis. Après, il n'avait pas eu d'autres transformations.

- Tu veux savoir quelque chose en particulier ?

Après, Quentin avait prévu de demander à Blanche comment était son monde à elle. New York. Les quartiers riches. Les films ne racontaient pas souvent la vérité, il valait donc mieux qu'il demande en personne à une New-Yorkaise.

- Dire qu'on avait peu de chances de se recontrer quand même...Moi je vivais dans un monde magique tandis que toi, tu faisais tes études dans un lycée prestigieux je suppose... On se retrouve tous les deux dans un univers complétement différent. Pas autant pour moi que pour toi. Et on retournera sûrement dans notre monde à nous après, comme si rien ne s'était passé. Il faudra s'y faire...

Il préféra ne pas dire que ce serait impossible pour lui d'être loin de Blanche, cela plomberait toute l'ambiance. Ils auraient le temps d'en discuter de toute façon, ils n'étaient pas prêts de repartir tout de suite. A part si justement, demain changerait tout...

Blanche avait certes pas vraiment réagit aux paroles de Quentin. Car elle réfléchissait sur ce qu'il venait de dire. Quentin s'assit à son tour mais par terre. La cape était assez grande pour les deux amants même s'ils étaient un peu serré,c'était pas un problème. B se décala pour lui laisser de la place prés d'elle. Blanche était une érudit. Elle possédait de profonde connaissances,un vrai puits de sciences ..une savante. Bon ok..elle avait quelques voir beaucoup de difficulté avec les maths et la Physique. Mais le reste ça aller en particulier la littérature,l'histoire et la philos. Les yeux de la jeune femme brillait,avide d'apprendre de nouvelles connaissances.

"Tu as raison, il y a beaucoup d'avantages, mais il y a encore plus d'inconvénients, je t'assure. Mais c'est sûr, certains choses sont vraiment bien. En humain, j'ai déjà ma température élevée à plus de quarante deux degrés, et, encore plus étonnant, je guéris en deux minutes. Même les os cassés. J'aurais bien aimé te montrer, mais je doute que tu apprécies que je m'entaille la main devant toi, même si il y a une guérison rapide. "

Certes..c'était un coup ou elle tombe raide dans les pommes. Blanche ne supportait pas vraiment la vue du sang. D'ailleurs, rien que le fait d'en parlé elle était devenue blême. Elle adressa un rapide sourire au lycanthrope mais ne dit rien.

"Il y a aussi le fait que j'ai beaucoup plus de force que d'autres de mon âge, même si...ça ne se voit pas vraiment u_u. Surtout par rapport à Paul et Jared, ceux qui sont venus tout à l'heure. Mon cousin est encore plus grand que moi, ça m'énerve beaucoup d'ailleurs... "

Blanche pour une raison inconnue aimé le fait que Quentin ait une grand force. Sans doute son subconscient qui ce disait qu'avec ça elle serait plus en sécurité sur c'est terres inconnues et légèrement hostiles. B ce demandait comment était le cousin de Quentin. Mais, a voir le ton qu'employé le jeune homme ils ne devaient pas vraiment être les meilleurs amis du monde. Elle comprenait cela...avec sa belle-mère c'était ça.

"Après rien ne change beaucoup. Mais si je me mets en colère, il peut arriver que je me transforme sans pouvoir me contrôler, comme tout loup. Mais c'est rare quand même, je me retiens maintenant. J'aimerais bien que tu me vois sous cette forme, pour te montrer que je n'ai absolument rien à voir avec les loups-garous des films!"

Blanche se releva pour se retrouvé assise comme Quentin. D'un sens elle rêvé de le voir sous sa forme de loup. Mais, il avait aussi cette peur. Peur qu'il ne puisse se contrôler ou autres. Enfin...il avait bien dit qu'il savait se contrôlé dans ce cas-là elle lui fessait confiance.

"Il y a trois ans, je ne croyais pas aux légendes Quilleutes qui parlaient des loups et des vampires...j'ai du me forcer à y croire. "

Ah vrai dire...Blanche aussi ne croyait pas aux légendes urbaines et autres mais, c'était avant qu'elle ne rencontre Quentin. A New-York aussi il y avait certaines histoires a donner la chair de poules même au plus braves d'esprits.

"Dire qu'on avait peu de chances de se rencontrer quand même...Moi je vivais dans un monde magique tandis que toi, tu faisais tes études dans un lycée prestigieux je suppose... On se retrouve tous les deux dans un univers complétement différent. Pas autant pour moi que pour toi. Et on retournera sûrement dans notre monde à nous après, comme si rien ne s'était passé. Il faudra s'y faire..."


Blanche resta un moment silencieuse....." Et on retournera sûrement dans notre monde à nous après, comme si rien ne s'était passé. Il faudra s'y faire..." Ces paroles-là était dur pour elle. Mais...elle réfléchit encore. Au bout de quelques secondes elle dit enfin:

-Je crois pas que...je pourrais m'y faire. Tu m'a apporté une chose qui m'était inconnue jusqu'à maintenant. Non en faite...tu ma apporté énormément de choses. Des connaissances,des sensations,des émotions et surtout un sentiment que je n'avait jamais connue auparavant. Et rien que pour ça je serais incapable de m'y faire.

A sont tour de se confié. Elle remis une mèche en place et raconta:

- Dans ma ville...il existe un monde que je ne suis pas sur de supporter maintenant. Il y a d'abord l'étiquette...c'est une éducation très dur qui existe depuis le temps des rois pratiquement. A croire que ces gens-là ce sont arrêté dans le temps. L'étiquette toute les jeunes filles doive l'apprendre. Elle nous permet de bien se comporté à table, être la meilleure hôte,être hautaine...être stupide tout simplement. Les garçons aussi on leurs étiquette mais, c'est moins lourd. Il y a déjà ça puis...

Elle réfléchit une fois encore...tellement de choses à dire. C'était compliqué.

-Ce monde est compliqué. Les femmes comme leurs filles seraient capable de tout surtout du pire. Avec l'argent c'est sur...quand au jeune hommes et les pères ils sont pareil. Couler l'hôtel de son meilleur ami, piquer le petit ami de sa meilleure amie tout ça pour un stupide titre! Marié son enfant de force avec un jeune homme qu'elle ne connait pas et tout ça pour amélioré la fortune déjà aussi grande que la statue de la liberté. Et puis...le pire ça doit être le lycée. Il y a deux statut...le King et la Queen. Ils contrôle le lycée,impose leurs règles et les autres subisse. Le King et la Queen sortent ensembles évidemment... ils doivent être présent au bals des débutants ect... ils sont les numéros 1. Les plus beaux,les plus glamours,plus populaire. Ils sont aussi très craint.

Blanche s'interrompit et avoua une chose:

- Je vais être franche avec toi...j'étais la Queen du Lycée. J'ai fait des choses horribles. J'ai fait beaucoup de mal aussi. Pas forcement volontaire,quand j'ai objectifs rien ne m'arrête. Même Vanderbilts le gars qui régner avec moi disons, à souffert. Je pensais qu'à ma réputations,mes petites fêtes,commérages...du grand n'importe quoi. On s'aimaient même pas en plus. Il me tromper avec une fille, en plus elle venait de Brooklyn....oh....excuse-moi. J'ai rien contre les gens de Brooklyn, juste...bon...c'est en moi. Comme disait si bien ma mère" tu tient tes talents de conspiratrices de moi, et pour les rêves de princes et princesses de ton père." Ah vrai dire je suis pas si sur de ça...Enfin... à quoi t'attendre maintenant.

Elle souris et lui dit:

-Ta choisit la pire de l'Upper East Side. C'est ce que j'appelle avoir la poisse. Enfin...je suppose que j'ai des qualités.Ah vrai dire... je me fiche pas mal de ce que les autres pensent,je suis comme je suis et puis si on m'aime pas tant pis....

Blanche regarda la mer devant elle et demanda:

- Tu crois que l'eau est chaude ??

Quentin détourna son regard. Elle vit de coin que Blanche se redressait afin d'être à son hauteur. Il finit de raconter ce qu'il voulait dire, en terminant par des paroles sur lui et elle...Leur futur si ils revenaient dans leur monde. Il avait eu du mal à dire cela, à le penser, et pourtant, c'était la vérité. Mais pourquoi pensait-il à cela, il n'en avait aucune idée. Il était avec Blanche depuis peu de temps, et il réfléchissait à ce qui les sépareraient deja.

-Je crois pas que...je pourrais m'y faire. Tu m'a apporté une chose qui m'était inconnue jusqu'à maintenant. Non en faite...tu ma apporté énormément de choses. Des connaissances,des sensations,des émotions et surtout un sentiment que je n'avait jamais connue auparavant. Et rien que pour ça je serais incapable de m'y faire.

C'était aussi un bon résumé de ce que ressentait Quentin à ce moment-là. Non, depuis qu'il connaissait Blanche à vrai dire.

- Dans ma ville...il existe un monde que je ne suis pas sur de supporter maintenant. Il y a d'abord l'étiquette...c'est une éducation très dur qui existe depuis le temps des rois pratiquement. A croire que ces gens-là ce sont arrêté dans le temps. L'étiquette toute les jeunes filles doive l'apprendre. Elle nous permet de bien se comporté à table, être la meilleure hôte,être hautaine...être stupide tout simplement. Les garçons aussi on leurs étiquette mais, c'est moins lourd. Il y a déjà ça puis...

Il aurait tant voulu stopper Blanche, mais elle continuait, comme si elle ressentait le besoin de lui prouver qu'elle était plus que différente de lui. Il aurait voulu faire tout pour qu'elle arrete, parce qu'il savait qu'il y repenserait plus tard, bien que rien ne changerait beaucoup. Elle lui raconta ensuite ce qu'il se passait vraiment dans New York, plus précisement à Manhattan... Quentin avait du mal à comprendre, n'étant pas du tout du monde de Blanche, mais dans un certain sens, il voyait ce qu'elle voulait dire sans trop de mal. Jalousie. Vengeance. Victoire. Défaite. Ridicule. Mépris. Il y avait bien d'autres mots qui défilaient dans l'esprit du loup, mais il s'arreta là pour le moment. Blanche continua à parler, après un léger temps de pause. Elle semblait bien décider à tout dire.

- Je vais être franche avec toi...j'étais la Queen du Lycée. J'ai fait des choses horribles. J'ai fait beaucoup de mal aussi. Pas forcement volontaire,quand j'ai objectifs rien ne m'arrête. Même Vanderbilts le gars qui régner avec moi disons, à souffert. Je pensais qu'à ma réputations,mes petites fêtes,commérages...du grand n'importe quoi. On s'aimaient même pas en plus. Il me tromper avec une fille, en plus elle venait de Brooklyn....oh....excuse-moi. J'ai rien contre les gens de Brooklyn, juste...bon...c'est en moi. Comme disait si bien ma mère" tu tient tes talents de conspiratrices de moi, et pour les rêves de princes et princesses de ton père." Ah vrai dire je suis pas si sur de ça...Enfin... à quoi t'attendre maintenant.

Il aurait voulu maintenant lui dire qu'il se fichait de tout, qu'il l'avait comme elle l'était, que c'était pour cela qu'il s'était impregné d'elle, parce qu'elle lui était destinée. Toutefois, il réagit en entendant Blanche dire avec mépris le nom d'une fille qui venait de Brooklyn. Sa meilleure amie, Jessica Abrams, venait de là-bas, et avait, comme Blanche, été transporté dans ce monde nouveau pour elle, mais n'avait pas eu de difficulté à s'adapter. Un léger grognement sortit des tréfonds de sa gorge, mais pas pour faire peur à celle qu'il aimait. Non, il était juste habitué à faire cela quand il était un peu agacé. Aussi une particularité quand on était loup, on pouvait grogner comme un animal, sans pour autant avoir l'air stupide.

-Ta choisit la pire de l'Upper East Side. C'est ce que j'appelle avoir la poisse. Enfin...je suppose que j'ai des qualités.Ah vrai dire... je me fiche pas mal de ce que les autres pensent,je suis comme je suis et puis si on m'aime pas tant pis....

- Blanche, arrête-toi, je t'en prie ! Déjà, je ne t'ai pas choisi, c'est...plus compliqué. Ensuite, comme tu l'as dit, moi aussi je me fiche que tu sois comme cela. Que tu ais été comme cela. Je n'aime que la Blanche devant moi, celle que je ne connais pas baucoup, mais, je le sais, a un grand coeur.

Il n'y eut guère de silence car Blanche demanda ensuite si l'eau était chaude. On était en automne, et la mer risquait surement d'être un peu fraiche. Mais à la limite, il pourrait en profiter pour réchauffer Blanche... Lui ne souffrirait pas du froid qu'il pourrait y avoir, il le savait. Quentin se leva alors en tendant une main à Blanche qui la prit, et elle se mit debout à son tour. Il la lâcha pour aller au bord de l'eau, et la toucha avec le bout de son doigt. Pour lui, elle n'était absoluement pas froide. Il faudrait donc voir avec la jeune femme.

- Peut-être qu'elle le sera, j'ai un peu de mal à déterminer. Pourquoi demandes-tu cela ?

Il en avait une grande idée, n'étant quand même pas idiot, mais il préférait vérifier pour ne pas commettre d'erreurs. Fini le temps où il pouvait faire et dire n'importe quoi, il s'en fichait avant. Maintenant, il ne voulait pas faire d'idioties. Il remarqua qu'il n'y avait pas de vent, et personne en vue aussi. Il espérait que Blanche ait eu l'idée de vouloir se baigner.

Certes...Blanche avait tout dit et elle se sentait mieux. Soulagé de pouvoir en parlé avec quelqu'un digne de confiance. Non pas partagé tout cela ou pour que Quentin se sente mal vis-à-vis d'elle juste. Se faire pardonner,soulagé sa conscience. Bon ok...il n'était pas prêtre non plus,toute manière Blanche n'était même pas croyante. Un sourire rêveur sur les lèvres,plus elle parlé,plus elle allait mieux. Or...elle ressentait encore un poids en elle. Son regard s'assombrit de nouveaux. Elle savait pourquoi elle n'était pas complètement heureuse. Pourquoi elle n'était que soulagé à moitié. B. ne remarqua pas l'attitude étrange de Quentin. Trop occupé à libéré tout ce mal en elle,toute cette folie. Par-contre elle entendue le grognement de Quentin. Pourtant, elle n'y prêta guère attention. Il lui avait raconté sa vie pourquoi pas elle ?? La jeune femme continua de parlé et finit enfin par s'arrêta.

"Blanche, arrête-toi, je t'en prie ! Déjà, je ne t'ai pas choisi, c'est...plus compliqué. Ensuite, comme tu l'as dit, moi aussi je me fiche que tu sois comme cela. Que tu ais été comme cela. Je n'aime que la Blanche devant moi, celle que je ne connais pas beaucoup, mais, je le sais, a un grand cœur. "

Blanche se tut et se promit de ne plus rien raconter à l'avenir. Elle en avait sans doute trop dire. La joie l'avait emporté sur la raison. Sa conscience l'avait prévenue,elle devait toujours rester sur la défensive. Et ce n'est pas parce que Quentin l'aimait,qu'elle devait pour autant montrer ses faiblesses. Rien que de pensé à ça elle se sentit pas très bien.
"Déjà, je ne t'ai pas choisi, c'est...plus compliqué"

.....Justement,s'il était pas lycanthrope.Si y avait pas eut cette histoire d'imprégnation. Quentin serait-il tombé amoureux d'elle ? Une question que B ne c'était jusqu'à maintenant pas encore posé. Elle voulut lui demandé mais, s'y résigna finalement. Autant profité de l'instant présent non ? Le lycanthrope se leva et tendit sa main vers Blanche,qui encore dans ses pensées du mettre plusieurs secondes avant de comprendre qu'il souhaitait simplement l'aidé à se relevé. Elle la prit et se leva. Il la lâcha pour voir comment était l'eau. B croisa les bras. C'était compliqué . Tout ça...c'était bien,mal et compliqué. Elle avait passé des larmes à la frustration et maintenant se sera quoi ?

" Peut-être qu'elle le sera, j'ai un peu de mal à déterminer. Pourquoi demandes-tu cela ?"

Blanche s'avança vers lui et lui adressa un sourire radieux. Personnes,pas de vents. Blanche sortit un ruban pour attachée ses cheveux et se déshabilla. Pas complètement évidemment...Elle enleva simplement sa robe. Pas de bol pour Quentin...elle avait gardé l'habitude de porté une fine chemise blanche en satin sous sa robe. Elle quitta ses petite chaussures et se glissa dans l'eau. O_O".....plus glacé on mourrait. B. plongea complètement dans l'eau et revient à la surface avec un grand sourire. Valait mieux pas ressortir de l'eau maintenant que son corps c'était mis à la température de l'eau.

- L'eau est bonne pour un jour d'Automne.

Elle n'avait jamais fait de plongé sous-marine,ni même de natation. Mais, elle aimait le risque et la beauté des profondeurs sous-marin...cela suffisait pour qu'elle reste sous l'eau le plus longtemps possible. Blanche se souvient alors qu'une fois elle avait fait une peur horrible à ses parents qui avait crut qu'elle c'était noyé. Comment qu'ils l'avaient sermonnée ce jour-là. Elle n'avait jamais vu son père aussi fou de rage et sa mère aussi angoissée. Une preuve de leurs Amour ?

Ce que dit Quentin sembla stopper Blanche dans l'explication de sa vie à elle. Si il s'était mis à tout raconter, elle se serait surement sentie frustrée. Quoique c'était pardonnable et facilement oubliable, comme pour ce qu'elle faisait avant. Parce que, justement, c'était avant. Le fait de demander si l'eau était chaude fut assez destabilisant pour Quentin pour qu'il en oublie ce qu'il pensait. Les changements de sujets de ce genre l'avait toujours perturbé sur le moment. Mais elle avait raison de passer sur autre chose. Il ne sut pas vraiment si l'eau était chaude, ou si au contraire elle était glacée. Quand il en demanda la raison, Blanche prit les devants, et enleva carrément sa robe et le reste pour aller dans l'eau. Ce fut un assez grand choc pour lui. Pas quelque chose qui le choquait bien sûr, mais plutôt qui lui faisait ressentir beaucoup trop de choses à la fois... Il connaissait ces sensations mais pas à ce point. Il en brûlait presque.

- L'eau est bonne pour un jour d'Automne.

Il sortit de son état de stupeur bref, et eut un sourire. Il se rapprocha à nouveau du bord de l'eau et se débarassa en un instant de ses chaussures, puis enleva son T shirt. Il avait remarqué que Blanche avait un léger tissu sur elle, lui n'était qu'en sous vetement normal. Bah, après tout, ça ne changeait rien. Il retira son short puis alla directement dans l'eau. Il avait légèrement sous-estimé la température, mais elle ne le génait pas non plus. Quentin ne mit pas longtemps à s'habituer, et se tourna vers Blanche. Il nagea jusqu'à elle, puis, ne pouvant se retenir, mit ses mains autour de la taille de la jeune femme et l'embrassa longuement.

- Tu es sûre de ne pas avoir froid quand même ?

Il ne lâcha pas sa taille, mais s'inquietait légèrement pour elle. L'eau était plus froide qu'elle, il le sentait. Lui n'en souffrirait pas, mais elle... Il n'en savait rien. Tout aurait été tellement plus simple si il n'avait été qu'un humain normal, capable d'être comme tous les autres. Pouvoir sentir autant de choses le mettait parfois au dépourvu, et il aurait voulu ne pas les avoir. Même si le fait d'être lycan le protégeait de beaucoup de choses, il restait simplement un mutan..un humain capable de se transformer en loup géant en quelque sorte.

- Normalement, je n'aurais pas pu te dire que j'étais un loup-garou...Je suppose que c'est le changement de monde qui fait ça. Mais ça ne change rien, je peux t'en parler maintenant.

Il ne lui servait à rien de dire cela, pourtant c'était la vérité. Si il avait rencontré Blanche en Amérique, même par pur hasard, il y aurait l'imprégnation quand même, il l'aurait senti beaucoup plus tôt d'ailleurs, et il n'aurait pas pu raconter l'histoire des loups. Enfin si, puisqu'il en avait le droit pour celle dont il était impregné. Même lui était confu dans ses pensées.

- Ca te dérange si, parfois, en pleine nuit, je suis près de ta maison ? Je sens que je ne vais pas me retenir, avec tous ces buveurs de sang dans le coin...

Un grand besoin de protection envers quelqu'un...Voilà quelque chose qui était nouveau, encore une fois, pour lui. Ca en était très destabilisant.

Blanche remonta doucement à la surface. Elle regardait amusé Quentin qui semblait un peur surpris par l'audace de la jeune fille. Il finit par sortir de sa stupeur. Blanche plongea dans l'eau froide mais, pas complètement. On ne voyait que ses yeux flamboyant couleur noisette. Il s'approcha du bord et se déshabilla devant Blanche ravie de ce mini-streap. Il se retrouva en sous-vêtement en un rien temps. Le lycanthrope plongea dans l'eau et rejoignit la jeune femme. Blanche lui sourit,il posa ses mains autour de la taille de la jeune femme et l'embrassa longuement. Rien de chaud pour le moment c'était juste..passionnel,doux. Blanche rompit le baiser et sourit à Quentin qui lui demandait si l'eau n'était pas trop froide pour elle. En même temps contre le lycanthrope comme ça elle ne sentait plus la froideur de l'eau. Et au pire, quand elle sera vraiment très froide elle retournerait sur le sable.

- T'en fait pas...pour moi.

Elle l'embrassa a son tour,plus langoureux que le premier tout de même. Bah...B était et resterait un rien aguicheuse. Ce fut Quentin qui rompit le baiser pour lui dire:

"Normalement, je n'aurais pas pu te dire que j'étais un loup-garou...Je suppose que c'est le changement de monde qui fait ça. Mais ça ne change rien, je peux t'en parler maintenant."

Oui, ça changeait rien. Puis...ils avaient tout leurs temps pour parlaient de ça. Blanche pourtant ne dit rien et passa ses bras autour de la taille du lycanthrope. Pas pour le serrer dans ses bras mais, comme pour éviter qu'il parte loin d'elle. Tout ceci était comme dans ses rêves...les rêves se réalisent donc. Comme dans les histoires.

"Ça te dérange si, parfois, en pleine nuit, je suis près de ta maison ? Je sens que je ne vais pas me retenir, avec tous ces buveurs de sang dans le coin..."

Blanche haussa les sourcils et lui répondit en caressant une partie de son visage. A force ça allait devenir un tic ou une manie...

- Oui ça me dérange. Si tu vient près de chez moi, tu reste pas dehors. Je ferais un double des clés comme ça tu pourra rentré,mon père dira rien. Je le préviendrais quand même...on ne sais jamais.

Valait mieux éviter une altercation entres le viel homme et Quentin. Elle voyait très bien son père jeté dehors Quentin croyant que c'est un voleur. Puis d'un sens aussi valait mieux pour le lycanthrope qui rentre pour pas alerté le village qui se poserait des questions. Tellement de choses a pensé....Elle ne voulait pas que le maire ou chef du village vienne les voir pour leurs signaler qu'une personne se promené le soir près de leurs maison. Et cela permettra aussi de ne pas inquiéter la jeune femme. Savoir que son petit-ami se promène seul dans le noir n'était pas rassurant. Lycanthrope ou pas. Tout ça...sa mère et son père,ils ne l'avait jamais ressentit. C'était rassurant pour Blanche de savoir qu'elle n'était pas comme ses parents voir sa belle-mère. D'ailleurs heureusement qu'elle était seule ici..elle aurait vite fait trouvé un moyen de se débarrasser de sa belle-mère par "accident". Non....B devait chassé ses pensées là de sa tête. Elle devait faire des efforts pour changer. Même si Quentin disait qu'il voulait la "vrai Blanche"...elle,souhaité changé. Sinon tout deux en souffriraient gravement et encore souffrir gravement était une citations un peu vague et pas assez fort pour traduire la méchanceté de la jeune femme qui s'accrochait à elle comme si sa vie en dépendait.

- T'en fait pas...pour moi.

Quentin n'eut guère le temps de dire quelque chose, même si il n'en avait pas vraiment envie, Blanche l'embrassa à son tour bien plus...passionnement. Il en profita donc. Décidement, elle était bien douée pour cela. Il coupa ce bon moment un instant, premièrement parce qu'il en était essoufflé à force, et deuxièmement, pour lui parler un peu. Cela ne servait à rien de lui dire. Bientôt, sans rien dire, il sentit les mains de la jeune femme sur sa peau, à sa taille. Il ne tarda pas à lui dire autre chose. Si il pouvait rester pas loin de chez elle parfois. Là non plus, ça ne servait à rien de le dire, parce qu'il le ferait de toute façon.

- Oui ça me dérange. Si tu vient près de chez moi, tu reste pas dehors. Je ferais un double des clés comme ça tu pourra rentré,mon père dira rien. Je le préviendrais quand même...on ne sais jamais.

- Pas la peine...Enfin, c'est comme tu veux. Ca ne me dérangerait pas de venir chez toi, mais pour ton père... Je suis pas sûr qu'il va apprécier u_u

Il eut un léger rire, puis pour empêcher Blanche de lui répondre, il l'embrassa à nouveau. Plus ils parlaient, plus leurs baisers étaient chauds...et merveilleux. Quentin mit une main sur le visage de la jeune femme, et l'autre sur son cou. Etait-ce un hasard si ils étaient tous les deux amoureux l'un de l'autre, en train de s'embrasser dans l'eau d'une plage, dans un autre monde ? Lui n'y croyait plus au hasard. C'était simplement le destin. Son destin. Le sien et celui de Blanche. Il dut toutefois rompre à nouveau le baiser et la fixa sans rien dire pendant une dizaine de secondes. Il pensait à beaucoup de choses en l'embrassant, des souvenirs revenaient en lui. Comme quelques moments passés avec des filles...celles-ci n'étaient rien comparées à Blanche. Mais il n'y avait pas que cela. A cause de ses...habitudes, il voulait quelque chose, mais se doutait qu'il valait mieux ne rien dire. Non, il ne supporterait pas qu'elle le prenne mal.

- Tu dis que tu as fait les pires choses...Moi aussi, mais peut-être pas dans le même sens que toi. On est pareils donc. Chacun son passé... Je préfére juste le présent. Avec toi.

Cette fois, Quentin l'attira près d'elle et la serra doucement contre lui. Pas comme les fois d'avant, où il avait été rassuré. Non là, il se disait qu'elle était un cadeau du ciel, et que son maudit passé où il passait son temps à s'amuser était terminé.

- Bon, si on retourne dans notre monde, il faudra bien sûr que tu me fasses visiter New York. Crois moi ou pas, je n'y suis jamais allé, et pourtant, j'aurais bien aimé ! Une ballade dans les rues avec toi ne me sera pas de refus.

"Pas la peine...Enfin, c'est comme tu veux. Ça ne me dérangerait pas de venir chez toi, mais pour ton père... Je suis pas sûr qu'il va apprécier u_u"

Il n'aura guère le choix. Et puis Blanche trouverait les bons mots,elle saurait se débrouiller. Comme toujours. D'ailleurs elle savait exactement ce qu'elle allait lui dire." Si tu veux éviter la zizanie au village...il faudra que tu accepte qu'il vienne le soir." Puis...il ne pourrait lui refuser ça. Elle était comme sa fille et il avait confiance. Blanche... ferait jouer ses talents de comédienne au pire. Elle était très doué pour ça. Que lui avait dit sa belle-mère ?? Ah oui...."T'aura mieux fait de te lancer dans le septième Art au lieux de vouloir faire comme ton père." C'était juste après que son père est prit sa défense. Pour une fois....
Enfin..Blanche ne put répondre car, Quentin l'embrassa à nouveaux. Posant une de ses mains sur son visage et l'autre dans son cou. Ce baiser là fut légèrement plus caliente que les deux premiers. Ce fut Quentin qui rompit le baiser,regardant pendant quelques dizaines de secondes Blanche sans rien dire. La jeune femme elle aussi restait silencieuse mais, à la différence du lycanthrope elle souriais.

"Tu dis que tu as fait les pires choses...Moi aussi, mais peut-être pas dans le même sens que toi. On est pareils donc. Chacun son passé... Je préfère juste le présent. Avec toi."

Cela traduisait exactement les pensées de B. Oublié le passé,ne pas se préoccuper de l'avenir....profiter simplement de l'instant présent. Quentin attira B près de lui avant de prendre la parole. Ils étaient maintenant très collée. Ça devenait de plus en plus caliente.


"Bon, si on retourne dans notre monde, il faudra bien sûr que tu me fasses visiter New York. Crois moi ou pas, je n'y suis jamais allé, et pourtant, j'aurais bien aimé ! Une ballade dans les rues avec toi ne me sera pas de refus. "

Cela s'appelait être kamikaze. Pour Blanche promenade= Shopping. La jeune femme se mit à rire. Elle voyait mal Quentin attendre sagement qu'elle se change dans la cabine. D'autant plus que elle ne fessait pas un magasins mais plusieurs. Elle avait ces favoris tels que Barney's,le magasin de sa mère où elle était traité comme une petite princesse,Chanel,Bendels et puis après faire une petite pause au Starbuck du coin ,aller voir son ancien lycée. Puis forcément ils rencontrerons des amis à Blanche qui les inviterait à la fête VIP du week-end ou un anniversaire....bref... s'ils voulaient vraiment être tranquille valait mieux aller dans la maison de campagne dans le Connecticut.

- C'est une bonne idée...j'espère que tu aime marcher par-contre. Car faudra que je te fasse gouter le Starbuck du coin,aller chez Armani,Bendel,Barney's ooh puis que je montre mon université et mon ancien lycée. Et je suis sur que mon père trouvera un petit temps pour nous recevoir à son boulot. Ah...ma belle-mère aussi..enfin....sera plus difficile de la rencontrer elle est souvent en vadrouille.

- C'est une bonne idée...j'espère que tu aime marcher par-contre. Car faudra que je te fasse gouter le Starbuck du coin,aller chez Armani,Bendel,Barney's ooh puis que je montre mon université et mon ancien lycée. Et je suis sur que mon père trouvera un petit temps pour nous recevoir à son boulot. Ah...ma belle-mère aussi..enfin....sera plus difficile de la rencontrer elle est souvent en vadrouille.

Elle en avait des choses à lui montrer...Et il serait heureux de voir tout cela. Parce qu'il aimait découvrir tout ce qu'il ne connaissait pas. Du moment qu'il n'y avait pas de danger bien sur. Blanche parlait carrément de lui présenter ses parents... Ca commençait à lui foutre sérieusement la trouille là. En même temps, peut-être qu'ils finiraient leur vie ensemble, heureux, qu'il la demanderait en mariage dans plusieurs années, et ainsi va la vie. Peut-être pas. Peut-être allaient-ils juste rester amoureux l'un de l'autre, car les deux auraient peur de ce qu'ils pourraient devenir. Quentin, en repensant à des gens qui se mariaient parfois très vite, s'imagina dans le même cas...

Il était avec Blanche dans un salon grand et confortable, dans une belle maison. Elle était à l'étage, tandis que lui regardait la télé, alors qu'ils avaient tous les deux environ vingt-deux ans ou vingt trois. Il y avait un bruit qui retentissait en continue, là où elle était, et lui essayait de l'oublier, bien qu'il en était habitué. Il vivait cela chaque jour, chaque nuit, depuis quelques mois... Au bout d'un moment, les cris cessèrent, et des bruits de pas arrivèrent dans les tympans de Quentin, lui indiquant que Blanche descendait les escaliers. Il se leva alors, pour la rejoindre, la regarda un instant avec tendresse en murmurant un "Je t'aime", puis l'embrassa tout en touchant la bague à son doigt et son ventre rond...

Quentin aurait presque été dans un cauchemard pendant qu'il imaginait cela. Les enfants. Non, surement pas, il préférait tout sauf ça... S'imaginer marié avec Blanche, avoir un bébé alors qu'en plus elle était à nouveau enceinte...Non pas possible pour un homme comme lui. Il eut l'air tendu pendant plusieurs instants, Blanche dut le remarquer d'ailleurs. Mais non, il fallait qu'il arrete de se faire des idées comme celle là alors qu'il venait à peine d'être avec elle. Qu'est ce qui lui prenait ?

- Je serais ravi de voir tout cela, et tes parents aussi !

Inutile de préciser que son père à lui serait aussi content de rencontrer la jeune femme qui était avec Quentin, pour une fois qu'il pouvait avoir une relation...stable. Mais le père du jeune homme était ennuyeux à mourir, Quentin n'avait pas du tout envie de le voir d'ailleurs en ce moment. Quant à sa mère...Elle ne risquait pas de voir Blanche. Elle n'avait pas pu voir son fils grandir...à cause d'une maudite complication d'accouchement. Cela, pratiquemment personne ne le savait. Si, Mitchie, une fille qui habitait à la Push. Son père évitait d'en parler, et la dernière fois, il avait dit qu'elle ne serait surement pas fière de ce qu'était devenu Quentin... Ca fait sympa à entendre.

- Ils doivent être mieux que mon père...

Quentin se souvenut alors qu'ils étaient toujours dans l'eau. Autant en profiter pour bouger un peu quand même. Quoiqu'il appreciait beaucoup son contact rapproché avec Blanche à ce moment là...Toutefois, il sentait lui-même que l'air changeait rapidemment, devenant sec et froid. Comme l'eau d'ailleurs. Il ne voulait pas partir de là, mais il savait que le temps changeait très vite, et qu'une pluie pouvait rapidemment venir même si le soleil était magnifique. Peut-être se trompait-il aussi.

- On sort ? Tu vas te congeler dans peu de temps je sens.

Il lui prit la main en la gardant près de lui, puis ils sortirent rapidemment de l'eau. Sauf qu'ils n'avaient pas de serviettes, juste leurs vetements. Quentin n'aurait pas froid tout de suite, mais Blanche risquait. Il lui prit sa cape par terre et lui tendit pour éviter qu'elle se transforme en glaçon tout de suite.

- Si tu veux on va chez moi... , dit-il d'une voix hésitante.

Blanche n'était pas vraiment comme les autres demoiselles. Certes...elle aimé les mariages c'était féerique très princesses ect...mais, elle n'était pas prête pour ça. Elle tenait trop encore à sa liberté. Les enfants ? Ne lui en parlait même pas. Les enfants c'est beaux et bien......chez les autres. Elle frissonna par le froid soudain et par ces pensées cauchemardesque. Blanche posa son regard sur Quentin,lui aussi semblait perdu dans ses pensées et vu son expression elles devait pas être très rose.

"Je serais ravi de voir tout cela, et tes parents aussi ! "

Blanche fronça les sourcils...certes..mais, pas maintenant. Car, après tout ils étaient pas à New-York.

"Ils doivent être mieux que mon père..."

La mère de Blanche était morte. Il ne la verrait donc pas. Puis...elle ne connaissait pas le père de Quentin,elle ne pouvait pas se fier encore au jugement du Lycanthrope. Quel enfant n'a jamais dit " Mes parents ne sont pas aussi bien que les tiens ?" Personnes....même B avait dit ça. Elle avait toujours adoré la mère de sa meilleure amie,alors que sa meilleure amie elle, préférer Eleanor. B ne répondit donc pas...perdu une fois encore dans l'abîme de ses pensés...elle essayer d'imaginer l'avenir avec Quentin. Chose inutile certes mais...rien que pour voir comment elle voudrais que ce soit plus tard.

Il était tard...ils étaient jeunes. Le père de Blanche dormait,celle-ci attendait un signal car, comme chaque soir ils partaient s'amusaient avec des amis. Le signal ne tarda pas a arrivée. Tous l'attendaient donc. Elle ouvre la fenêtre et descend discrètement avec les draps de son lit. Et encore une folle soirée ou, ils rentrèrent tard. Heureux,amoureux , sans enfant ni même de bagues...inutile,futile.


Ah vrai dire...cela ressemblait plus à son adolescence. Mais l'Amour n'était-ce pas un retour dans l'adolescence ? Combien de fois elle avait soudoyer le gardien pour partir s'amuser le soir ? Plusieurs fois...trop nombreuses pour compter d'ailleurs.

"On sort ? Tu vas te congeler dans peu de temps je sens."

L'air était sec et froid. Blanche commençait sérieusement à congeler. Elle sortit de l'eau. L'eau ruisselait sur le corps de Blanche,elle constata aussi que sa chemise lui coller à la peau. Quentin heureusement, était partit chercher sa cape, B l'enfila rapidement et remercia le jeune homme. u_u. Fichue chemise qui lui collé de trop au corps et qui laisser paraitre certaines formes qui valait mieux caché. Heureusement, qu'elle avait prit la cape.

"Si tu veux on va chez moi..." lui dit Quentin sur un ton d'hésitation...

-Comme tu veux...si ton père est là..enfin..je voudrais pas déranger.

Elle attrapa ses affaires et partit vers le lycan. Elle faillit posé une question mais se retient à temps.


[HJ: Très court désolé...mais, je suis a court d'inspiration en ce-moment u_u"]

Blanche ne mit pas longtemps à décider de sortir de l'eau. Quentin la suivit, derrière elle, et évita de trop la regarder. Et pourtant, il appréciait bien ce qu'il voyait... Il préféra aller chercher la cape de la jeune femme, trouvant une excuse pour ne pas trop avoir de pensées perverses dans la tête, et lui passa ensuite. Il lui demanda alors si elle voulait aller chez lui. Ils seraient mieux, étant donné qu'ils étaient actuellement trempés. Elle parut hésiter aussi, lui donnant comme excuse " je ne voudrais pas déranger". Rah lala. Il se contenta de ramasser à son tour ses affaires tandis que Blanche le rejoignait, entourée de sa cape. C'est alors qu'il se souvient qu'il était juste en sous vetements. Ce serait mieux quand même si il se rhabillait, ce qu'il fit d'ailleurs un instant après. Certes, il trempait ses habits mais il en avait d'autres. Il n'était pas du genre à se trimballer à moitié nu dans un endroit publique.

- Au moins, ça changera quelque chose dans l'ambiance pourrie du moment. Enfin il s'est peut-être barré de la maison.

Quentin espéra de tout son coeur que c'était le cas. Il n'avait pas du tout envie de voir son père maintenant, il voulait juste être avec Blanche. Il mit un bras autour de la taille de Blanche et avança avec elle vers le village.

- La prochaine fois, tu évites de passer par la foret seule s'il te plaît...

Après, peut-être n'y était-elle pas allée seule...Mais les gens n'étaient pas très solidaires en ce moment. Il continua donc d'avancer jusqu'à ce qu'ils soient enfin dans la Push. Tout le monde était occupé à ses taches quotidiennes, donc personne ne remarqua un Quentin mouillé de la tête aux pieds, accompagné de Blanche elle aussi trempée. A part quelques personnes bien sur, mais il s'en fichait de toute manière. En deux minutes, ils traversèrent la moitié du village, et arrivèrent devant la maison de Quentin. Ce n'était pas du tout comme les belles maisons dans les films ou les séries qu'on pouvait voir, et encore moins les beaux hotels de New York... Il ouvrit la porte de la maison quand ils furent devant, et laissa entrer Blanche avant de passer lui même. Mais malheureusement, le lieu n'était pas vide.

- Ah tu es enfin rentré...Tu vas m'expliquer pourquoi ce matin, je ne t'ai pas trouvé dans ton lit ? Monsieur se ballade tranquillement, et moi, j'ai la peur de ma vie ! Evidemment, t'a du partir pour t'amuser encore hein ! Avec ces filles qui ressemblent à n'importe quoi.. Tu vaux mieux que ça quand même ! ET LAISSE MOI FINIR !

Quentin, évidemment, n'avait absoluement rien dit durant ce monologue. Il se contentait d'attendre que son père finisse de parler, tandis qu'il soupirait en évitant de regarder Blanche.

- J'en ai plus que marre d'avoir un fils comme toi, je me débrouille seul, et toi, tu fais ce que tu veux !

- Je suis majeur je te rapelle..., dit enfin le jeune homme.

Le père de Quentin était sûrement en haut de l'escalier, et il était d'ailleurs en train de descendre. Les deux jeunes étaient toujours dans l'entrée, ne bougeant pas, silencieux. Le lycan leva les yeux au ciel en se disant qu'en fait, il aurait mieux valu rester en dehors de la maison.

- C'est ça... ALLEZ, ENCORE UNE FILLE ! Tu ne vas donc jamais être un adulte responsable...

- Hum, ça va t'étonner, mais cette fille, je m'en suis impregné...Donc tu peux t'arrêter de HURLER contre moi, ça serait sympa !

Le père de Quentin n'eut guère le temps d'ajouter quelque chose, car le fils prit Blanche par la main et l'entraina en dehors de la maison. Manquait plus que cela, qu'il se fasse engueuler, et encore plus pour des réglements de compte. Il adressa un regard d'excuse à celle qu'il aimait en espérant qu'elle ne penserait plus à ce moment assez...perturbant.

"Au moins, ça changera quelque chose dans l'ambiance pourrie du moment. Enfin il s'est peut-être barré de la maison. "

Blanche ne dit rien, elle regardait Quentin se rhabillait.Il mit un bras autour de la taille de Blanche et avança avec elle vers le village.

"La prochaine fois, tu évites de passer par la foret seule s'il te plaît... "

Blanche haussa les sourcils et se contenta de sourire. Moui, moui....on verra hein.Ils arrivèrent vers la maison. Rien à voir avec NY sur, mais, B s'en fichait après tout elle vivait bien au-dessus d'une boutique. La jeune femme rentra et se mit sur le côté, une voix se fit donc entendre,assez grave.

"Ah tu es enfin rentré...Tu vas m'expliquer pourquoi ce matin, je ne t'ai pas trouvé dans ton lit ? Monsieur se ballade tranquillement, et moi, j'ai la peur de ma vie ! Évidemment, t'a du partir pour t'amuser encore hein ! Avec ces filles qui ressemblent à n'importe quoi.. Tu vaux mieux que ça quand même ! ET LAISSE MOI FINIR ! "

Blanche ne disait rien mais, son sourire et son regard traduisait ses pensées.

"J'en ai plus que marre d'avoir un fils comme toi, je me débrouille seul, et toi, tu fais ce que tu veux ! "

Elle avait l'impression d'entendre son père! C'était horrible...

"Je suis majeur je te rappelle..." finit par dire Quentin.

"C'est ça... ALLEZ, ENCORE UNE FILLE ! Tu ne vas donc jamais être un adulte responsable..."

B baissa la tête sans rien dire et salua d'un signe de main le père de Quentin.

-Hum...Bonjour.

"Hum, ça va t'étonner, mais cette fille, je m'en suis imprégné...Donc tu peux t'arrêter de HURLER contre moi, ça serait sympa ! "

Quentin ouvrit donc la porte et partit dehors en entrainant Blanche.

-Hum...Au revoir Monsieur.

Sympa...très folklore comme à NY. Blanche prit la mains de Quentin et posa son autre main libre sur le bras du jeune homme, comme pour le rassuré.

-On peux aller chez moi si tu veux. Ça me dérange pas.

Quentin se contenta d'aller un peu plus loin, mais hors de vue de son père. Blanche n'avait prononcé que quelques mots murmurés, question de politesse. Le jeune homme avait eu le temps de voir l'expression surprise de son père quand il avait dit la "nouvelle". Mais là, il ne voulait entendre aucun mot de sa part. Certes, il était un courreur de jupons, et ça, Blanche ne le savait pas vraiment, mais il savait être mature quand même. Rien que de penser à cela, Quentin était en rage, et sentait ses membres trembler. Non...Il valait mieux qu'il se calme tout de suite. Il ne voulait pas faire d'erreur, comme Sam et Emily.. Toutefois il n'y arrivait pas, même avec Blanche qui le rassurait en mettant une main douce sur son bras.

- Excuse-moi, dit-il d'une voix tendue. Je ne voulais pas que tu entendes ce genre de discours...

Peu après, Blanche lui proposa de venir chez elle, si il voulait. Ca serait sans doute mieux oui...Entre temps il se calmerait surement. D'ailleurs, il commençait, lentement, à ne plus trembler. Il savait comment il y arriverait beaucoup plus rapidemment. Fallait-il encore que Blanche n'est pas la trouille...

- Après peut-être, j'en serais ravi...Hum, est ce que... Est ce que ça te ferait peur si je revenais devant toi sous mon autre forme ? En dehors de la réserve.

En même temps, il avait envie de voir comment il ressentait son amour envers Blanche sous forme de loup. Tout était complétement différent, même si il conservait un esprit d'humain. En plus, il n'avait pas vraiment l'apparence d'un loup garou effrayant et autre...Plutot d'un gros nounours noir en peluche. Très gros d'ailleurs.

- Ca m'intrigue de voir ta réaction aussi...j'ai besoin de savoir.

Il craignait toujours qu'un jour, elle s'enfuise en courant en le voyant sous forme de loup. Il n'était pas forcément très rassurant, mais quand même...C'était assez surnaturel. Elle venait de New York où elle était riche, et lui était un loup garou digne de légendes vivant à l'autre bout des Etats Unis.

Quentin était tendue. Ça se sentait au son de la voix,sa posture aussi. La jeune femme ne disais rien mais ne cessais pas de rassurer Quentin. Elle le comprenait, elle ressentait sa douleur comme si c'était la sienne. Son père était pareille avec elle,depuis qu'il avait épousé sa belle-mère. Ils ne se parlaient plus mais, se hurlaient dessus carrément. Blanche en pleurait parfois le soir,seule dans sa chambre. Pleuré...elle détester ça.

"Excuse-moi,Je ne voulais pas que tu entendes ce genre de discours... "

Blanche était habitué et comprenait. Une fois son père l'avait disputé devant sa meilleure amie. Certes, c'était que sa meilleure amie mais, tout de même cela avait toucher la fierté de B.

"Après peut-être, j'en serais ravi...Hum, est ce que... Est ce que ça te ferait peur si je revenais devant toi sous mon autre forme ? En dehors de la réserve. "

Blanche qui souriais perdis son sourire pour laisser place à la stupéfaction.

"Ça m'intrigue de voir ta réaction aussi...j'ai besoin de savoir. "

Si c'était aussi vital pour lui, alors...elle accepter.

-Je suis pas sur...très bien.

La jeune femme était déjà blanche au naturel mais, la peur ne fessais que la rendre plus blême qu'elle ne l'était déjà.
La jeune femme n'était pas rassurée du tout, mais, elle fessais son possible pour montré à Quentin sa bravoure et sa détermination. Elle serait digne de lui et éviterait de partir en courant. Toute manière, elle en avait vu des choses horribles dans sa vie: La robe rose fushia de sa belle-mère pour Noël. Ok rien avoir avec la lycanthropie mais, c'était horrible quand même. Blanche malgré sa pâleur voulut rassurer Quentin avec un sourire,elle serra plus fort la mains du jeune homme pour éviter de trembler et l'encourager à se transformer.

La question de Quentin sembla prendre au dépourvu Blanche pendant quelques secondes. Pendant un instant, il faillit se traiter d'idiot tout seul. Elle hésitait quand elle lui répondit, son expression et son teint se transformèrent. Non, en fait, il aurait vraiment dû se traiter d'idiot. Valait mieux ne pas lui foutre la trouille maintenant... Mais peut-être aurait-elle peur plus tard, dans quelques jours ou quelques semaines, voire quelques mois. Autant le faire tôt. Mais maintenant, c'était lui qui hésitait.

- En fait je préfère que tu me vois...Pour éviter les surprises.. Je vais toujours avoir le doute, même si je peux attendre. Mais je ne sais pas si tu vas tenir le coup, tu es pâle comme pas possible !

Il sentit la main de Blanche se resserer autour de la sienne. Il préféra se remettre à marcher un peu. Il hésitait toujours : devait-il se transformer ? Un humain normal ne se sentirait pas forcément à l'aise...et Blanche était une humaine. Si elle s'évanouissait par exemple, il allait se sentir idiot pendant un bon moment. En même temps...Peut-être qu'elle allait l'aimer sous cette forme. Son cousin, Jacob, lui avait dit que sa meilleure amie, Bella, l'adorait en loup, qu'elle le trouvait comme un gentil chien, amicalement bien sur. Quentin n'écoutait pas souvent son cousin, mais il se souvenait de ce qu'il disait. Pendant tout ce temps court de réfléxion, le jeune homme s'était dirigé vers le bord de la forêt qui bordait la Push. Il s'enfonça dedant avec Blanche, mais juste une vingtaine de mètres plus loin. En fait, il avait aussi la crainte qu'elle s'imagine des trucs horribles sous sa forme animale...

- Tu sais que je ne fais de mal à personne, et surtout pas à toi, dit-il en s'arretant et en prenant le visage de Blanche entre ses mains. Si tu ne veux vraiment pas, dis le moi.

Il ne la lâcha pas, la regardant dans les yeux d'un regard profond. Il ne voulait pas qu'elle mente, surtout qu'il voyait toujours l'hésitation dans ses yeux à elle.

Des loups...Blanche en avait vu qu'à la télé. C'était une occasion d'en voir un de plus prés. Une occasion en or se disait-elle pour se rassuré. Les occasions en or elle les raté jamais.

"En fait je préfère que tu me vois...Pour éviter les surprises.. Je vais toujours avoir le doute, même si je peux attendre. Mais je ne sais pas si tu vas tenir le coup, tu es pâle comme pas possible ! "

Blanche afficha son célèbre air fière et répondit:

-Je vais tenir le coup, t'en fait pas.

Son assurance était fragile mais, elle était là. B lâcha la mains de Quentin et croisa les bras. Si sûr d'elle, au fond c'était pas du tout ça. D'ailleurs son regard devait bien la trahir car, le jeune homme s'arrêta et prit son visage entres ses mains pour lui dire:

"Tu sais que je ne fais de mal à personne, et surtout pas à toi, Si tu ne veux vraiment pas, dis le moi. "

Elle ferma les yeux et les rouvrit en soupirant. Délicatement, elle enleva les mains de Quentin sur son visage.

-Tout ira bien, t'en fait pas...

Une vrai combattante. Elle pourrait faire partie des armées narnienne. Jamais, elle ne s'enfuirait. La lâcheté, Blanche n'aimait pas cela. Son père l'était,fallait bien l'avouer. Il l'était avec sa belle-mère. B ne tolérait pas ça et lui fessait des crise horrible. Étant tout deux têtue,les crises se terminer en violente dispute. Une fois même,Blanche atterrit dans le mur tellement son père l'avait violemment gifler. Un secret des Maden...un secret bien gardé. Mais, B s'était bien venger en semant la zizanie entre sa belle-mère et son père. Pendant une semaine, la vielle folle n'avait pas parlait à son père. C'était marrant de voir le soir arrivée son père dans sa chambre en hurlant:"Qu'est que tu as fait ???!!!!" Auquel la jeune fille répondait avec un sourire insolent.

-Je vais tenir le coup, t'en fait pas.

Quentin n'était toujours pas convaincu de ce qu'il devait faire. Elle lui assura une nouvelle fois que tout irait bien pour elle, d'ailleurs, elle devait commencer à bel et bien se le dire. Il acquieça alors, puis recula de quelques pas avant de courir plus loin. Là où elle ne le verrait pas pour le moment. Si d'habitude, il lui était aisé de se transmuter d'un coup, là, ses hésitations faisaient tout pour l'en empecher. Il enleva ses vêtements, car ceux-ci se déchireraient si il se transformait avec, les suspendit à une branche - il saurait facilement laquelle c'était - puis respira à fond et en une seconde, Quentin Black devint un loup.

Il sentit alors tout dans la foret, il entendait tout, il percevait tout. Il respira l'air pur et frais de la foret, où toutes les odeurs se mélangeaient. Il se concentra sur une odeur qu'il cherchait et qu'il ne tarda pas à trouver. Celle de Blanche. Il sentait légèrement son anxieté, et préféra ne pas la faire attendre. Il avança doucement et lentement. Pour le moment, il n'était sûrement pas visible par elle, car sa fourrure était d'un noir de nuit, elle se fondait avec les bois sombres. Mais bientôt, il ne fut qu'à cinq mètres d'elle, et elle dut commencer à le voir, son expression venait légèrement de se transformer. En même temps, il la dépassait de beaucoup, même à quattres pattes. Il n'était pas un simple loup, non...

Quentin finit par arriver à seulement quelques centimètres de Blanche, et tourna autour d'elle, avant de s'arrêter en face. Il la regarda alors dans les yeux, pour bien lui faire comprendre par un regard qu'il était toujours un humain au fond de lui. Il posa ensuite la tête sur l'épaule de la jeune femme. Là, elle devait sentir sa chaleur encore plus élevée que quand il était simplement Quentin. En fait, il avait l'impression de mieux se sentir avec elle sous cette forme. C'est vrai que parfois, il se transformait pour ne pas avoir à ressentir les humeurs humaines qui le faisaient quelquefois souffrir. Ca en était relaxant. Sauf qu'il était obligé de redevenir humain après... D'ailleurs, il devait le faire là, Blanche avait toujours un petit air de peur, et son coeur battait plus vite que la normale. Il aurait tant aimé savoir à quoi elle pensait..

Quentin recula alors puis revint à l'endroit où était ses vêtements, laissant Blanche seule pendant un moment. Il redevint un humain puis se rhabilla et alla vers la jeune femme. Cette fois, il ne savait pas du tout à quoi elle pouvait bien penser, elle était neutre.

- Ca va ?

Quentin laissa Blanche seule. La jeune femme en avait profité pour se rhabillait vite fait. Elle prit un peu de temps pour attacher sa longue robe. Ensuite, elle attendit. Une longue attente remplit d'angoisse. Attentive au moindre bruits,au moindre craquement de branches. Blanche,bras croisé n'arrêtait pas de jeter des coups d'œil inquiet autour d'elle. Cette attente...c'était intenable. Elle ferma les yeux et les rouvrit. Un petit sursaut. A cinq centimètre d'elle se tenait Quentin. Sous sa forme de loup il était largement plus grand qu'elle. La jeune femme ne quittait plus le loup du regard,celui-ci tournait autour d'elle et finit par s'arrêtait en face d'elle. Blanche était impressionnée par la grandeur du loup. Quentin s'approcha d'elle et posa sa tête sur son épaule. La jeune femme prit le risque de caresser la tête du loup. La fourrure était tellement douce. Blanche sentait aussi la chaleur du jeune loup,encore plus élevé que quand il était sous sa forme humaine. Elle se tourna vers lui et examina encore le loup. C'était impressionnant..la taille surtout.Déjà qu'il la dépassait sous forme humaine mais, là il la dépassait encore de quelques centimètres et à quatre pattes en plus.Il la regarda alors dans les yeux, pour bien lui faire comprendre par un regard qu'il était toujours un humain au fond de lui. Blanche voulut parlait mais, les sens de la demoiselle ne répondait plus elle resta donc silencieuse et stupéfaite.
Quentin finit par repartir. Il revient quelques minutes plus tard sous sa forme humaine et habillée. Blanche resta encore un peu stupéfaite. Le jeune homme lui demanda alors si elle allait bien.

-Je...oui,oui ça va.

Elle revoyait encore l'image du loup. Impressionnant. Puis cette couleur elle était magnifique. Bleu nuit,sombre..magnifique.

- Je pensais pas que tu serait aussi...aussi grand,enfin....impressionnant.

La crainte avait laissé place à la stupéfaction,l'émerveillement. B se mit aussi que si elle aurait vu Quentin sous sa forme de loup avant sa forme humaine,elle aurait surement eut la peur de sa vie et qu'elle serait évanouit ou aurait courut loin très loin. Mais, maintenant, elle était sûr de ne plus craindre la forme loup de Quentin. Ah vrai dire elle aimait autant la forme de loup que la forme humaine de Quentin. Toute manière les deux c'était la même chose,il y avait juste l'apparence qui changeait. Il gardait toujours les même pensées et sentiments.
Quentin était un homme remplit de surprise et Blanche ne cessait de dire qu'elle avait de la chance de l'avoir et qu'elle ne voudrait plus jamais le perdre.